New York Spine Institute Spine Services

Dystrophie Sympathique Réflexe

Les meilleurs médecins de New York City et Long Island pour la dystrophie symphatique réflexe

Le syndrome de dystrophie sympathique réflexe (SDSC), également connu sous le nom de syndrome douloureux régional complexe, est une maladie rare du système nerveux sympathique qui se caractérise par des douleurs chroniques et intenses*.

L’équipe du New York Spine Institute est composée de médecins certifiés prêts et qualifiés pour traiter toutes les affections liées à la colonne vertébrale. Grâce au diagnostic, ils peuvent comprendre et personnaliser un plan de traitement pour chaque patient afin de fournir le plus haut niveau d’excellence.*

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Pourquoi choisir le New York Spine Institute

Soins de qualité

Sur la base de votre diagnostic spécifique, nos médecins expérimentés, ici à NYSI, sont prêts à vous donner des soins personnalisés et de haute qualité. Tout cela afin de s’assurer que vous êtes au courant des options de traitement qui s’offrent à vous.

Leaders de l’industrie

Sous la supervision de notre directeur médical, Alexandre B. de Moura, M.D. FAAOS, les médecins spécialistes de la colonne vertébrale du New York Spine Institute sont des leaders du secteur. Tous possèdent des connaissances approfondies sur les différents troubles du cou et de la colonne vertébrale, ce qui leur permet d’offrir à tous nos patients des options de traitement appropriées.

Langues multiples

Notre personnel professionnel ici à NYSI parle une variété de langues afin de mieux communiquer avec nos patients. Les langues parlées sont l’espagnol, le portugais, le français, l’italien, l’allemand et le russe. Notre équipe est prête à répondre aux besoins de nos patients.

Alexandre B. De Moura, M.D. FAAOS DIRECTEUR, NEW YORK SPINE INSTITUTE, DIRECTEUR, DEPT. CHIRURGIE ORTHOPÉDIQUE, CENTRE MÉDICAL MERCY

Comprendre les causes de votre dystrophie sympathique réflexe

La cause de la DSR n’est pas connue. On pense que cette maladie est due à un mauvais fonctionnement du système nerveux sympathique, mais certains chercheurs remettent cette hypothèse en question. Les entorses, les fractures, les interventions chirurgicales, les lésions des vaisseaux sanguins ou des nerfs et certaines lésions cérébrales sont autant de conditions susceptibles de déclencher une crise de nerfs.

Le SDRS peut survenir à la suite d’un traumatisme, d’une intervention chirurgicale, d’une infection, de brûlures, d’une radiothérapie et/ou d’une paralysie d’un côté du corps (hémiparésie). Dans de rares cas, le SDRS peut apparaître après une crise cardiaque (infarctus du myocarde). Des troubles de la colonne vertébrale, tels que l’arthrose cervicale, ont également été associés au SDRS*.

Timothy T. Roberts, M.D., ORTHOPÉDIC SPINE SPECIALIST

Options de traitement de la dystrophie sympathique réflexe

Le diagnostic du SDRS peut être confirmé par une évaluation clinique approfondie comprenant une anamnèse complète des symptômes et un examen physique complet. D’autres tests spécialisés (par exemple, la prise de température de la peau, les radiographies, les études thermographiques et les scintigraphies osseuses) peuvent également suggérer le diagnostic*.

Angel Macagno, M.D. FAAOS, ORTHOPEDIC SPINE SPECIALIST

Options de traitement de la dystrophie sympathique réflexe

La détection précoce est la clé du traitement de la DSR. Plus la maladie est détectée tôt, plus le traitement sera efficace. Certains cas de DSR ne répondent pas au traitement. La DSR ne se guérit pas, mais il est possible de guérir d’un grand nombre de ses symptômes*.

Il existe plusieurs stades de DSR, dont les symptômes sont les suivants :

  1. Aiguë (trois à six mois) : brûlure, bouffée de chaleur, blanchiment, transpiration, gonflement, douleur et sensibilité. À ce stade, les premières radiographies peuvent montrer un amincissement parcellaire de l’os.
  2. Dystrophique (trois à six mois) : changements cutanés précoces de la peau brillante et épaissie et contracture avec douleur persistante, mais diminution du gonflement et des bouffées vasomotrices.
  3. Atrophique (peut être de longue date) : perte de mouvement et de fonction de la main ou du pied concerné avec contracture (processus de cicatrisation en flexion) et amincissement des couches graisseuses sous la peau. La radiographie peut révéler une ostéoporose importante.

Les traitements de la DSR varient. Certaines interventions et certains médicaments peuvent aider à soulager et à traiter les symptômes. Vous pouvez également avoir recours à la kinésithérapie et à la psychothérapie pour réduire les effets de la DSR. Il se peut que votre état s’améliore considérablement avec le traitement, mais certaines personnes doivent apprendre à gérer leurs symptômes.

Les interventions pour la DSR comprennent

  • stimulation de la moelle épinière
  • implantation d’une pompe
  • la sympathectomie, chimique ou chirurgicale, qui détruit certains nerfs sympathiques
  • stimulation cérébrale profonde
  • antidépresseurs
  • bêta-bloquants
  • stabilisateurs de membrane
  • relaxants musculaires
  • les anti-inflammatoires non stéroïdiens

Une autre option peut être la thérapie physique. Afin de favoriser la circulation sanguine et de renforcer les muscles nécessaires, cela peut être un excellent moyen de gérer les symptômes et d’aider les patients à améliorer leur qualité de vie*.

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